MP35 : Moteurs
I MCCPermalink
Il a l’avantage d’être rapide à caractériser, et c’est le seul à fonctionner ne moteur (et non alternateur comme la machine synchrone).
Explications claires et précises : Lien du PDF
II Moteur de StirlingPermalink
Commencer par calibrer la machine :
- Mettre le volume au min et appuyer sur le bouton pour calibrer en bas
- A froid, on fait fonctionner le boitier qui donne toutes les grandeurs, il faut étalonner P(U), U la tension image de P. Avec la seringue, voir notice.
- On peut ainsi faire correspondre la tension à la surpression
- Voir notice pour U(V), le volume
Le but est de tracer un diagramme (P,V) sous Igor. On mesure la masse d’éthanol dans le bruleur, on l’allume et le met sous la fiole à droite. On attend que ça chauffe bieng, et on lance la roue (elle ne démarre pas seule). En mode single, on observe les images de P et V sur une bonne minute. Sur Igor, on lit l’oscillo, on récupère les CH1 et 2 dans “append columns to tabl” dans l’onglet “scope”. Il faut dupliquer ces colonnes car on ne peut pas faire de calculs dessus ! Ensuite, on peut convertir les tensions en volumes et pressions, puis tracer P(V) pour avoir les cycles (Ô c’est beau). Pour mesurer l’aire d’un cycle, on utilise integrate, on trace l’intégrale de P en fonction de V, on a un gros caca boudin. Zoomer dessus, ce sont des courbes qui font des aller-retours, on mesure l’écart entre deux points de rebroussement (vertical) avec des cursuers. Pour les faire apparaître : graph–>showInfo. Si les curseurs ne bougent pas, zoomer encore.
On remonte au rendement (calculs en annexe).
Annexe : calculs : Lien du PDF